Deux boutiques Casa del Habano détruites à Beyrouth

01 septembre, 2020

Le 4 août dernier une explosion a ébranlé la ville de Beyrouth au Liban. Un entrepôt rempli de nitrate d’ammonium a été la cause des deux déflagrations ressenties dans le pays et emportant avec elles nombre de vies humaines et de bâtiments. Parmi les infrastructures détruites, deux boutiques et bureaux Casa del Habano ont été recensés.

Une onde de choc perçue à plusieurs kilomètres à la ronde

La journée du 4 août s’annonçait être l’une des plus banales. Mais c’était sans compter sur cette explosion terrible qui a mis Beyrouth à genoux. 200 personnes y ont laissé la vie, 300 000 habitants se retrouvent sans toit sur la tête, de nombreux dégâts ont été déplorés à des kilomètres à cause des déflagrations et de l’onde de choc.

De nombreux commerces ont été soufflés, laissant les travailleurs et les patrons dans une grande précarité. Cette explosion a bousculé la quiétude des habitants de Beyrouth.

 

Via cigaraficionado.com

 

Deux boutiques Casa del Habano soufflées

La firme internationale Casa del Habano n’a pas été épargnée par cette tragédie. Les deux magasins présents sur le sol libanais ont sévèrement été touchés par l’explosion. Fort heureusement, les salariés présents au moment de l’incident n’ont été que légèrement blessés.

Cependant, les vitrines des magasins ont été soufflées, les humidors se sont retrouvés au sol, tout le verre présent dans la boutique a été détruit. La plupart des cigares se sont retrouvés au sol après que les étagères aient été balayées par le souffle de l’explosion. Il faut dire que les deux magasins se trouvaient très près du lieu de l’explosion.

Vers la reconstruction pour avancer

La Casa del Habano met tout en œuvre pour restaurer ses deux boutiques présentes au Liban, ainsi que les bureaux présents dans le pays. Selon les responsables, un retour à la normalité devrait être possible dans très peu de temps. À ce titre, le magasin ayant subi le moins de dommages a pu reprendre son activité depuis quelques jours. Mais ce qui reste valable pour l’entreprise ne l’est pas autant pour les autres commerçants de la ville ni pour les habitants ayant perdu leur logement.