Les cigares et l’univers automobile

S’il est usuel d’associer les cigares avec les spiritueux ou encore l’horlogerie, il l’est un peu moins fréquent de faire le rapprochement avec les véhicules. Et pourtant, c’est un duo qui fonctionne à merveille…

Cuba, encore et toujours

Nul n’ignore que Cuba demeure le repère des voitures anciennes tout autant que des volutes. Dans les rues déambulent de vieux modèles datant parfois des années 50. Un retour en arrière fort apprécié par les aficionados qui conduisent cigare au bec. Les touristes découvrant Cuba y vont non seulement pour ses célèbres tiges, mais également pour profiter de l’aubaine de conduire l’un de ces petits bijoux antiques.

Les voitures de luxe

Faisons un pas de géant vers l’innovation et le luxe. Ce dernier s'associe souvent à un compte en banque bien rempli, mais également avec l’opportunité de conduire une voiture n’appartenant pas à monsieur tout le monde. C’est ainsi que Maserati, Rolls Royce, Jaguar, Porsche et bien d’autres sont des symboles de grandeur. Au-delà d’avoir un petit bolide entre les mains, arborer un barreau au volant de sa voiture de sport de luxe ou de sa puissante cylindrée reste un signe de distinction.

À noter que dans le Code de la route français, aucune loi ne sanctionne le fait de fumer au volant. En revanche, fumer alors qu’un mineur est présent dans le véhicule est totalement prohibé. Allumer un cigare en voiture n’est pas rare et constitue même, pour certains, un petit plaisir nécessaire pour assumer le trajet ou les embouteillages.

Les accessoires automobiles pour les cigares

Parce que l’univers du cigare n’est pas si éloigné de celui de l’automobile, certains fabricants ont imaginé et créé des produits adaptables. C’est par exemple le cas de cendriers à cigares signé Zikar, s’introduisant dans les porte-gobelets des véhicules.

Autre exemple chez Rolls Royce, où l’on ne fait pas les choses à moitié. Dans la célèbre Phantom, a été placé un humidificateur de cigares. Même si celui-ci dispose d’une capacité de 3 tiges seulement, il s’agit là du luxe poussé à son paroxysme.